• Un couple s'arrête devant un tableau exposé lors d'un vernissage sur lequel sont dessinés trois hommes très noirs, nus, assis dans un parc. 
    Deux ont le pénis noir et le troisième a le pénis rose. 
    Le couple regarde le tableau d'un air embarrassé. 
    L'artiste s'approche du couple : 
    - Puis-je vous aider ? Je suis l'auteur de ce tableau ! 
    - Nous aimons beaucoup votre peinture, mais nous ne comprenons pas pourquoi il représente trois Africains sur un banc. 
    En plus, celui du milieu a un pénis rose, alors que les deux autres ont le pénis noir ! 
    - Ce ne sont pas des Africains, ce sont des mineurs de fond, et celui du milieu est rentré déjeuner chez lui !


    votre commentaire
  • Quelques nouvelles de Cafougnette ...

    Cafougnette suit le convoi d’un enterrement. Un de ses amis vient le rejoindre et dit :
    - Alors Cafougnette ! J’ai chu que t’femme, cha n’allot pas tros fort ! Commint qu’all’va ? Et Cafougnette, montrant le corbillard :
    - Comme té vos... Tout duch’mint !

    Cafougnette est en train de sculpter une statue de Sainte-Barbe. Un de ses camarades s’approche et le regarde faire.
    - Ch’est du boulot, hein ?
    - Mais nan, innochint, ch’est du quêne !

    Cafougnette se rend au commissariat et déclare :
    - Monsieur l’commissaire, em’femme all’ a disparu !
    - Depuis combien de temps ?
    - Cha va bétôt faire un an !
    - Et c’est seulement maintenant que vous venez signaler sa disparition ?
    - Bin, j’osos pas l’croire !

    Madame Cafougnette va chez le médecin toutes les semaines.
    - Docteur, j’cros qu’min coeur i bat trop vite !
    - Docteur, j’cros qu’mes boïaux i sont loïés !
    - Docteur, j’cros que j’vas pas passer l’hiver ! À chaque fois, le médecin la rassure. Puis il ne la voit plus pendant six mois. Un jour, elle réapparaît dans son cabinet.
    - Ah ! Ch’a fait longtimps que je ne vous avais pas vue !
    - J’n’ai pas pu v’nir ! J’ai été malate !

    À l’école, l’instituteur demande au petit Cafougnette d’aller au tableau pour corriger un problème :
    - Ton père achète 10 litres de vin à 1,50 le litre. Combien ça lui fait ?
    - Oh, avec min père, cha li fait 2 jours !

    Cafougnette se rend au commissariat et déclare :
    - Monsieur l’commissaire, em’femme all’ a disparu !
    - Depuis combien de temps ?
    - Cha va bétôt faire un an !
    - Et c’est seulement maintenant que vous venez signaler sa disparition ?
    - Bin, j’osos pas l’croire !


    In savo bin ,qu’in éto intelligin...

    Un Marseillais, un Parisien et un Chti découvrent un génie. Le génie leur dit : "jetez n’importe quoi dans l’océan si je le retrouve vous mourrez. Si je ne le retrouve pas vous deviendrez l’homme le plus heureux du monde."

    Le Marseillais jette un cure-dent au large du Frioul, le génie le retrouve, le marseillais meurt.

    Le parisien jette un clou à la Pointe du Raz, le génie le retrouve, il meurt aussi.

    Le Chti (les plus intelligents du monde) jette quelque chose au large de Boulogne sur mer. Le génie cherche, cherche, cherche, recherche et recherche encore. A bout de force, le génie lui demande : "qu’as-tu jeté ?" Le Chti lui répond : "Hé Biloute, te peux toudis cacher , ch’éto un Efferalgan !!!"


    voici quelques autres phrases courantes de ch’Nord ... :

    Vous savez que vous êtes du Nord parce que :
    Vous avez au moins une fois déjà comblé un ptit creux à la chicorée à 6h du mat’
    Petit vous aviez des crayons de bois et non pas des crayons à papier
    Vous comprenez le mot babache (et tant pis pour les babaches autour qui ne comprennent pas)
    En voiture on vous dit ’remonte le carreau’, vous savez quoi faire !
    La ducasse n’est pas pour vous uniquement une bière
    Prononcer le t à la fin du mot vingt ne vous paraît pas bizarre
    Il ne pleut pas c’est qu’il fait beau !
    Vous savez ce qu’est de la cassonade
    Vous lavez par terre avec un racleau et une wassingue
    Vous dites ’mettre la porte contre’ et la plupart des gens comprennent
    Vous dites marcher à pied de chaussettes
    Vous ne prenez pas les baraques à frites pour des gens du voyage.
    Il drache... on sort couvert
    Vous ne confondez pas la voix du Nord avec une ligne de train
    Vous n’avez jamais prétexté une grève quelconque quand vous arrivez en retard au taf.
    La définition du mot froid vous semble vraiment différente dans le sud
    Vous regardez "A s’barraque" de Dany Boon sans les sous-titres
    Vos doigts sentent la moule le premier week-end de septembre
    La pluie ne vous empêche pas de sortir
    Les frites avec de la mayo et du vinaigre ça vous parait normal
    Dès le moindre rayon de soleil, vous squattez les terrasses (même en plein hiver).
    Vous dîtes "s’il vous plaît" en tendant la monnaie pour payer vos achats
    Pour vous, le gris est une couleur
    Vous savez prononcer Pot’je vlees (mais vous savez peut-être pas l’écrire)
    Vous trouvez le clapotis de la pluie romantique
    Vous savez que Rijsel et Lille ne font qu’une
    Une semaine sans patate c’est impossible !
    Pour vous, le carnaval à ne surtout pas manquer ce n’est ni Rio ni Nice mais celui de Dunkerque
    La phrase "je t’appelle et je te dirai quoi" n’est pas pour vous une bizarrerie mais un apport futur d’information
    Petite leçon de Ch’ti, pour ceux de ch’Nord et ceux d’ailleurs...
    A TOUS CHEUX QUI NE CONNAITRO PAS LE CH’TI : cha vaut l’peine eud s’y mette !

    BONUS 1 : Une histoire vraie arrivée à Saint Amand, dans le Nord (Oui, tout est possible dins ch’Nord) racontée par une copine prof :
    Une élève répond au joli prénom de Merline...
    Par curiosité, lors d’une réunion, la prof demande à la mère : ’ Merline, le féminin de Merlin ?’Et la mère de répondre :
    ’ Ben nan, Merline, comme Merline Monroe quoi !’

    BONUS 2 : Un copain médecin, nous en a raconté une du même type :
    Lors d’une auscultation à l’hosto, il rencontre une mère et son fils ’CLITISS’.
    Curieux aussi, il a demandé à la mère d’où venait ce prénom...
    Attention très fort ...
    Ben, Clitiss comme Clitiss Wood ! !!

    Che chré bédo d’garder tout sa rien k’pour ti...


    De Gérard LEROY

    Cafougnette est caporal : il s’occupe de l’orientation des jeunes soldats.
    - Quo qu’te fesot ti dins l’civil ?
    - J’étais interprète : je suis polyglotte.
    - Quo qu’ché qu’te toules ? Cha veut dire quoi cha ?
    - Eh bien ! Je posséde cinq langues !
    - D’accord ! T’iras t’occuper de ch’courrier ! Te colleras chés timbres !!

    Cafougnette bégaie quand il prononce la lettre B et il n’ose jamais commander une bière.
    - Patron ! Eune limonate !
    Cela dure jusqu’au jour où il se confie au patron.
    - Te n’sais nin prononceu les B et ché pour cha qu’te t’prives d’bière ? Mais qu’t’es biête ! T’n’as qu’à commindeu un d’mi !
    - Cha alors ! J’n’y avos jomais pinsé ! Mets-me un d’mi !
    - Ché parti ! Eune blonde ou bin eune brune ?
    - Euh...euh... eune limonate !

    Cafougnette a loué un bateau avec un ami : ils font une bonne pêche.
    Cafougnette demande à son camarade s’il n’a pas une craie.
    - Pourquoi qu’te veux eune craie ?
    - Pour faire eune crox au fond de ch’batieau pour eurpérer l’indrot l’prochaine fos qu’in vient à l’pèque.
    - Non, j’n’ai nin d’craie ! Et puis d’toutes façons, rin n’dit qu’in aura l’même batieau, l’prochaine fos !!!

    Au café, Cafougnette laisse toujours payer les consommations par des copains.
    - Armettez-nous 3 ricards !
    - Allez ! A nous les copains ! Et puis, y faut qu’je dépêche, m’fème elle m’atind ! A d’main mes camarates !
    Le lendemain, ses deux camarades commandent 2 verres.
    - Si t’in veux un, Cafougnette, commande le ti même !
    Alors, Cafougnette commande son verre et va le boire seul à une table.
    Quand son verre est vide, avec une paille, il fait semblant de pêcher dedans.
    - T’as vu, Cafougnette, quo qu’y fait ? Cha n’li réussit nin d’boire sin verre tout seu !
    - Mais quo que t’fabrique, Cafougnette ?
    - Bin, te l’vos bin ! J’pêque !
    - Te pêques dins un verre vide ?
    - Te l’vos bin !
    - Et, Quo qu’te prinds ?
    - Bé, si te me l’demandes, j’vas prinde un ricard, avec vous z’autes !

    C’est une institutrice qui est envoyée dans une école dans laquelle les enfants ont un langage patois prononcé.
    L’institutrice commence :
    - Bon, les enfants, vous allez me dire ce que vous avez eu comme cadeau de Noël.
    Un premier enfant lève la main et dit :
    - Mi, à Noël, j’ai eu eune poupée qui piche et qui cante
    - On ne dit pas cela comme ça, dit l’institutrice. On dit : "Moi , à Noël, j’ai eu une poupée qui fait pipi et qui chante".
    Un autre enfant lève la main et dit :
    - Mi, à Noël, j’ai eu eune carette qui fonce à toute berzing
    - On ne dit pas cela comme ça, dit l’institutrice. On dit : "Moi , à Noël, j’ai eu une voiture qui roule à toute allure".
    Le petit Cafougnette lève la main et dit :
    - Mi, à Noël, j’ai eu in vélo
    - C’est très bien, dit l’institutrice, et un beau ?
    - Nin, in fer

    Cafougnette rencontre un copain qui lui dit :
    - Hier, in rintrant à m’mageon, j’ai trouvé m’fème, dins l’lit, couquée avec un lumbago !
    Cafougnette lui répond :
    - Te sais, y n’faut pu s’étonneu d’rin ! Et à ch’t’heure y faut faire attintion avec chés étringers ! Mi m’belle-soeur, elle s’est bin fait séduire par sin méd’cin, ché suremint un Irlandais, vu qu’ch’est un nommé O’Pat.


    votre commentaire
  •  Oui ! Puisque vous n'êtes pas ou plus Prof' vous en doutiez ; c'est normal mais maintenant c'est prouvé : les Profs ont de l'humour ! Voici quelques appréciations expéditives :
     

    * "Ta copie vaut 13, mais je t'ai mis 12, pour ne pas te porter malheur."
      "Élève surtout utile l'hiver, pour chauffer la pièce de sa présence."
     *"Non, non, ce n'est pas une classe de rameurs. La preuve ? 
       On fait du sur- place."
     *"Élève violemment amnésique : oublie ses leçons, son matériel et surtout la raison de sa présence au lycée."
      "Il y a des jours où on est heureux sans savoir pourquoi. 
       Pour Mathilde, c'est pareil : on est heureux qu'elle soit en 1ère, mais sans savoir pourquoi."
     *"Même à l'oral, il fait des fautes d'orthographe !"
     * Conclusion d'un conseil de classe : "On dit souvent que l'Éducation Nationale manque de moyens.
      Ce n'est pas le cas dans cette classe, il n'y a que ça !"
     * "Rendons-lui justice : il arrive fréquemment en retard à mes cours, mais, du coup il est très en avance pour le cours suivant."
     * "Soyons positifs : il rend peut-être ses copies blanches, mais jamais en retard."
     * "Bien parti pour réussir à rater son année."
     * "Élève fantôme, qui manque totalement d'esprit."
     * "N'a jamais ses crayons, n'a jamais ses cahiers, n'a jamais ses livres, mais a des circonstances atténuantes : n'a jamais son cartable."
     * "Au conseil de classe, j'ai dit qu'il y avait beaucoup d'élèves en difficulté.
      Maintenant qu'on est entre nous, je traduis : vous êtes une bande de grosses feignasses !"
     * "Lundi, photo de classe. Surtout ne vous entraînez pas à sourire pendant le week-end, il faut qu'on vous reconnaisse !"
     * "C'est pour éviter d'être ébloui par mon cours que tu gardes tes lunettes de soleil ?"
     * "- M'sieur, ça a sonné.
     * - C'est ça, c'est ça. Jeanne d'Arc, au tableau !"
     * "Au fait, je voudrais m'excuser par avance d'un problème anatomique un peu handicapant : j'entends très bien de l'oreille droite et très très bien de l'oreille gauche. Le premier qui bavarde, je l'aligne."
     * "- M'sieur, les livres, aujourd'hui ça sert plus à rien avec Internet !
      - Alors les cerveaux non plus, avec la télé ?.. Taisez vous donc et reconnectez vous sur «lecoursduprof.fr »."
     * "A un couple fusionnel d'élèves de la même classe : 
      - Aimer, c'est peut-être regarder dans la même direction, mais pas sur la même copie. Merci."
     * "Le prof interroge une élève d'habitude très discrète et pousse un cri d'horreur :
      - Aaaaaaaaah !. (Stupéfaction de la classe) Elle a parlé, elle est vivante !
     * "Lequel de vous deux a copié sur l'autre ? 
      Je pourrais lancer une recherche d' ADN sur vos devoirs, mais on va gagner du temps : dénoncez-vous !"
     * "Il paraît qu'on n'utilise que 15% des ressources de notre cerveau.
      Vous avez le droit d'essayer déjà de vous rapprocher de ce niveau."

    votre commentaire
  • Le jeu de la tireuse à bière 


    votre commentaire
  • 1604675_10203088283393026_143383377_n


    votre commentaire
  • .


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • .


    votre commentaire
    1. i vaut miux un p'tit avoëre qu'un grand espoëre…: un bon tien vaut mieux que deux tu l'auras
    2. Ech’ti qui va al ducass’ i perd es’ plach’: Celui qui va à la chasse perd sa place.
    3. El lang' ed chés gins, el queu ed'chés t'chiens, in n'peus pon z'impécher d'berloquer. La langue de ces gens, la queue de ces chiens, ils ne peuvent pas s'empécher de remuer.
    4. Quind el’tartine al quet, ch’est toudis du coté del confiture: Quand la tartine elle tombe, c'est toujours du côté de la confiture.
    5. Gentil n’a qu’un oeul', mi j’n’ai deux !: Trop bon, trop con !
    6. A forche d'aller ach' puits, el chaîn-n' al casse: tant va la cruche à l'eau qu'à la fin elle se brise
    7. un kien nfé pa un ka: tel père tel fils
    8. Ch'est come chti qui imbrache ech tchu d' sin beudet, ch'est pasqu'ha li plait !: chacun fait comme ça lui plait.
    9. I vaut miu péter in société qué d’mourir tout seu: Plus on est de fous plus on rit
    10. Al' prind sin tro d'cul pou l'intrée d'ein' carthédral':Elle se la péte grave

    votre commentaire
  •  
         Un couple s'arrête devant un tableau exposé lors  d'un vernissage sur lequel sont dessinés trois hommes très noirs, nus, assis dans un parc.                                                                           Deux ont le pénis noir et le troisième a le pénis rose.
    Le couple regarde le tableau d'un air embarrassé.
    L'artiste s'approche du couple :
     - Puis-je vous aider ? Je suis l'auteur de ce tableau !
      - Nous aimons beaucoup votre peinture, mais nous ne comprenons pas pourquoi il représente trois Africains sur un banc.
    En plus, celui du milieu a un pénis rose, alors que les deux autres ont le pénis noir !
     - Ce ne sont pas des Africains, ce sont des mineurs de fond, et celui du milieu est rentré  déjeuner chez lui !

    votre commentaire
  • .

     


    votre commentaire
  • .

     


    votre commentaire
  • L’père Victor est allé en ville voir l’Docteur.

    - Voilà docteur, chuis ben embêté, dit-il , à moûn âge y en a beaucoup qui vous demand’raient du Viagra. Moi j’en ai point b’soin, j’ai la zigounette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle s’met au garde à vous, chuis dans les champs, l’temps de r’tourner à la ferme voilà quelle r’ garde à nouveau mes bottes.

    Le médecin hoche la tête d’un air grave.

    - Vous n’auriez pas des fois un truc pour z’y maintenir la tête haute jusqu’a la ferme ? lui demande Victor.
    - J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
    - Tirer en l’air pour tirer un coup ? En v’la une idée qu’elle est pas mauvaise !

    Quelque temps plus tard v’là t’y pas que l’Victor débarque dans le cabinet du docteur.
    - J’viens vous voir, rapport au fusil !
    - Pourquoi ça ne marche pas ?
    - Oh ! ça eu marché, fait l’Victor, mais ça n’marche plus. Pendant tout l’été j’ tirais en l’air… La Sylvette rappliquait en courant et hop ! j’la bouriaudais dans les brousailles !
    - Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
    - Ben… d’puis l’ouverture d’la chasse, j’la vois plus !!!


    votre commentaire
  • cafougnette  

                                                                           

    zeph-cafougnette-5d4535

                                                                                              

                                                                                       


    votre commentaire
  • .


    votre commentaire
  • .

    408092_10201161899114623_347574614_n  

         Ch'est pas d' l'amour cha ?
    Deux tiotes vieilles se croisent dans la rue 
    - Commint te vas philo ?

    - Oh ! J'n'ai pas l' moral... J' viens d' perdre min mari !


    - Ah ban ! Qu'est-ch' qui ch'est passé ? 

    - J' l' ai invoyé dins l' gardin chercher des carottes et 
    des porions pour faire eul soupe et y a été pris d' malaise. 
    J' ai app'lé les s'cours, quind y sont arrivés, y'étos déjà mort. eune crise cardiaque...


                                    Qu'o qu' t' as fait alors ?

                                                                   Des pâtes... !!! 

     


    votre commentaire
  •  

     
     
                                  <wbr>                              <wbr>            </wbr></wbr>
    Dans la région Nord-Pas -de-Calais, le héros des histoires drôles s'appelle en général Cafougnette. C'est Jules Mousseron, poète et mineur à Denain (près de Valenciennes 59), qui a créé ce personnage. Après sa mort, en 1943, les gens de la région ont intégré le personnage de Cafougnette dans leur folklore.
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>------------------------------<wbr>------------------------------<wbr>------------------------------<wbr>------------------------------<wbr>------------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Cafougnette suit le convoi d'un enterrement. Un de ses amis vient le rejoindre et dit :
    > > - Alors Cafougnette ! J'ai chu que t'femme, cha n'allot pas tros fort ! Commint qu'all'va ?
    > > Et Cafougnette, montrant le corbillard :
    > > - Comme té vos... Tout duch'mint !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>-------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Cafougnette rentre chez lui avec deux pneus de voiture. Sa femme lui dit :
    > > - T'es pas malate ! A quo qu'cha sert d'rapporter des pneus à l'mason ! In n'a même pas d'carette !
    > > - Et alors ? Ti t'as bin un soutien-gorche !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>----------------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Cafougnette est victime d'un éboulement au fond de la mine : il est prisonnier dans une galerie avec un camarade.
    > > - Té connos inne prière, ti ?
    > > - Nan, j'n'in connos point !
    > > Cafougnette insiste :
    > > - T'allos pas à l'égliche pou t'communion ?
    > > - Nan !
    > > - Té n'vos pas qu'in va mourir ichi ! Faudrot faire quett'cosse ed'religieux, comme in fait à l'égliche !
    > > - J'ai inne idée... in va faire inne quête !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>-----------------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Cafougnette est en train de sculpter une statue de Sainte-Barbe.
    > > Un de ses camarades s'approche et le regarde faire.
    > > - Ch'est du boulot, hein ?
    > > - Mais nan, innochint, ch'est du quêne !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>------------------------------<wbr>--------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > C'est une institutrice qui est envoyée dans une école dans laquelle les enfants ont un langage patois prononcé.
    > > L'institutrice commence :
    > > - Bon, les enfants, vous allez me dire ce que vous avez eu comme cadeau de Noël.
    > > Un premier enfant lève la main et dit :
    > > - Mi, à Noël, j'ai eu inne poupée qui piche et qui cante.
    > > - On ne dit pas cela comme ça, dit l'institutrice. On dit : "Moi, à Noël, j'ai eu une poupée qui fait pipi et qui chante".
    > > Un autre enfant lève la main et dit :
    > > - Mi, à Noël, j'ai eu inne carette qui fonche à toute berzingue
    > > - On ne dit pas cela comme ça, dit l'institutrice. On dit : "Moi, à Noël, j'ai eu une voiture qui roule à toute allure".
    > > Un troisième lève la main et dit:
    > > - Mi, à Noël, j'ai eu in vélo.
    > > - C'est très bien, dit l'institutrice, et un beau ?
    > > - Nin, in fer
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>------------------------------<wbr>--</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Le petit Cafougnette discute avec un copain dans la cour de l'école.
    > > - T'as d'mindé quoi, ti, à ch'Père Noël ?
    > > - Mi, j'ai d'mindé un train électrique, et ti ?
    > > - Mi, j'ai d'mindé des tampax !
    > > - Quo qu'ch'est qu'cha ?
    > > - J'n'in sais rien ! Mais avec cha, té peux faire du vélo, du bidet, de l'gym et pis nager à l'piscine !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>-----------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Cafougnette se rend au commissariat et déclare :
    > > - Monsieur l'commissaire, em'femme all' a disparu !
    > > - Depuis combien de temps ?
    > > - Cha va bétôt faire un an !
    > > - Et c'est seulement maintenant que vous venez signaler sa disparition ?
    > > - Bin, j'osos pas l'croire !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>------------------------------<wbr>--------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > Madame Cafougnette va chez le médecin toutes les semaines.
    > > - Docteur, j'cros qu'min coeur i bat trop vite !
    > > Docteur, j'cros qu'mes boïaux i sont loïés !
    > > Docteur, j'cros que j'vas pas passer l'hiver !
    > > À chaque fois, le médecin la rassure. Puis il ne la voit plus pendant six mois.
    > > Un jour, elle réapparaît dans son cabinet.
    > > - Ah ! Ch'a fait longtimps que je ne vous avais pas vue !
    > > - J'n'ai pas pu v'nir ! J'ai été malate !
    > > ------------------------------<wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>----------------------------</wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>
    > > À l'école, l'instituteur demande au petit Cafougnette d'aller au tableau pour corriger un problème :
    > > - Ton père achète 10 litres de vin à 1,50¤ le litre. Combien ça lui fait ?
    > > - Oh, avec min père, cha li fait 2 jours !

    <wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr><wbr>

     

    </wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr></wbr>

    votre commentaire
  • .+

    sans-titre


    votre commentaire
  • pour rigoler 


    votre commentaire